2017 M11 10
Coucou le come back. C’était le 19 octobre 1977 : un film avec des ninjas de l’espace et une princesse avec un chignon chelou débarquait sur les écrans, et une génération toute entière était traumatisée par les hurlements gutturaux d’un BigFoot poilu. Pour accompagner la sortie de ce Star Wars (renommé depuis les années 2000 Star Wars, épisode IV : Un nouvel espoir), George Lucas avait pris le soin de commander des musiques originales à John Williams, dont on oublie qu’il avait précédemment écrit les partitions de films devenus cultes comme La tour infernale ou Les dents de la mer. Tout cela pour dire que presque pile 4 décennies plus tard, cette musique spatiale est rééditée dans un coffret trois vinyles, avec moult surprises.
Le côté obscur de la farce. C’est le prix : 142 € pour réserver sa copie sur Amazon ; la livraison étant prévue le 1er décembre. Mais à ce tarif, les fans de Han Solo et autres cowboys de l’espace en tenue de judoka auront le plaisir de gouter une expérience unique, puisque le coffret contient un livre de 48 pages avec des photos rares, des textes de Jeff Bond et Jeff Eldridge expliquant l’importance de la musique dans le premier film de la première trilogie, et surtout une Etoile de la mort projetée en hologramme sur l’un des vinyles (ça fait toujours son petit effet).
Hasard ou coïncidence, cette réédition anniversaire tombe pile poil pour la sortie du prochain épisode de la saga, prévu quant à lui pour le 15 décembre pour une sortie en salles. Comme quoi, même les Jedi ont un sens aigüe du marketing. Au moins, ça vous donne une occasion unique d’imiter Dark Vador en offrant le coffret pour Noël à votre père.