2016 M10 31
Premier grand choc esthétique de cette édition parisienne du festival Pitchfork : les paillettes. Oui, cette année on constate une grosse offensive des paillettes qui ont su conquérir le cœur d’au moins 60% du public. Ainsi, la paillette permet de donner de la joie au visage et de cacher les cernes.
Que ce soit pour créer du lien, embellir les lunettes ou faire croire qu’on porte des pierres précieuses, c’était le must have de l’édition. Preuve de ce succès, en se rendant au stand « paillette » pour en savoir un peu plus sur cette manie, il était écrit ceci :
Deuxième claque, et elle est de taille : la quasi éradication des Stan Smith remplacées par les Reebok blanches. Le constat est cinglant.
Mais alors, grosse angoisse : qu’en est-il du bonnet ? C’est bon, de ce côté-là, vous pouvez être rassurés, il occupe toujours le devant de la scène. Ouf. En voici trois parmi des milliers recensés.
Et sa variante plot en plastique. De toute beauté.
Sinon, et ça c’est de l’info, le tout-en-une-pièce fait une entrée des plus remarquées. Bleu de travail qui tue… ou complètement trippé.
Enfin, on notera que le bombers skino-branchouillo-modeux reste une valeur sûre du cool pitchforkien. Démonstration en deux clichés :
Pour conclure, pour être « beyond », optez pour des paillettes sur le visage, une paire de Reebook blanches, un plot en plastique sur la tronche, un bleu de travail et un bombers. De rien, vous nous remercierez plus tard.