2023 M02 17
Existe-t-il une meilleure façon de définir l'expression « occuper l'espace médiatique » qu'en évoquant Aya Nakamura ? Pas sûr. Ces dernières semaines, la Franco-Malienne a tout fait pour montrer qui est la boss. On l’a vu remplir trois Accor Arena en quelques minutes à peine, on l'a aperçu lors de la dernière Fashion Week (un an après avoir flirté avec Balenciaga), on l'a entendu dans quelques émissions télévisées populaires, on l'a découverte en couverture de magazines, etc. La raison ? Aya Nakamura a récemment sorti « DNK », son quatrième album. Alors, forcément, les sollicitations s'accumulent.
Dernier évènement en date ? Son partenariat avec Lancôme, la marque de cosmétiques de luxe, dont elle est la nouvelle égérie internationale, aux côtés de l'actrice sud-coréenne Hoyeon Jung (Squid Game). « Selon moi, Lancôme a toujours été la marque de référence en matière de cosmétiques, et je pense que c’est cool de s’associer à cette marque car ce sera surprenant, précise-t-elle, dans un élan corporate. Nous avons beaucoup de projets à venir qui sont super excitants, et nous sommes ravis de dévoiler tout cela. »
Parmi les projets « super excitants », il y a notamment la sortie d'un documentaire à venir d'ici l'été. Parce qu'il faut bien faire comme les autres, ses principaux concurrents au sein des tops streams (Orelsan, Angèle, Bigflo & Oli, etc.). Et parce qu'il y a forcément une histoire intéressante à raconter sur la façon dont Aya Nakamura est devenue la queen du paysage musical français. Pas toujours respectée, mais indéniablement souveraine.