Ces collaborations auxquelles Lana Del Rey n’a pas pensé

  • Alors que Lana Del Rey vient de balancer le clip de "Lust For Life" en feat avec The Weeknd, Jack s’est amusé à imaginer les cinq prochaines collaborations de l’Américaine. Plus ou moins probables.

    Un hymne pacifiste avec le Dalaï-Lama. À peine revenue de Coachella, Lana Del Rey s’arrête à côté d’un séquoia perdu en pleine forêt pour écrire les paroles pacifistes d’un titre a capella qu’elle balance dans la foulée sur Instagram. Une méthode et un message qui ne déplairaient sans doute pas au Dalaï-Lama, jamais contre l’idée d’envoyer un peu d’espoir aux populations du monde entier (Lama del Rey, du coup?).

    Un clip avec Donald Duck. Si le duck face a envahi les murs Facebook et les comptes Instagram de la planète, personne au sein de la pop culture ne semble mieux le maitriser que Lana Del Rey et ses lèvres de canard. L’association avec Donald Duck le temps d’un clip forcément décalé, un peu dans le ton de l’immense Roger Rabbit, pourrait ainsi valoir le coup d’œil. Ça offrirait non seulement un joli lifting à Disney, mais ça prouverait surtout que Lana Del Rey, à défaut de sourire sur les tapis rouges, est au moins dotée d’un peu d’humour.

    Un tube rock avec Courtney Love. Sur son troisième album, « Born To Die », entre deux considérations sur l’amour et ses déceptions, Lana Del Rey évoquait sa fascination pour les bad boys. Reste que si l’Américaine souhaite s’acheter une crédibilité rock, et donc laisser de côté son personnage de diva, sa longue chevelure et ses ongles manucurés, on ne peut que lui conseiller de se tourner vers celle qui a longtemps électrisé le genre, en coulisses ou en studio : Courtney Love. Mine de rien, on aurait peut-être affaire ici au groupe rock le plus badass entendu depuis les Plasticines (non, là, on déconne).

    Un brûlot politique avec Bruce Springsteen. « Au début, je pensais que l’album allait avoir une ambiance très 50’s-60’s, un peu à la Joan Baez. Mais avec le débat politique qui s’intensifiait dans le pays, les paroles s’en sont trouvées changées. Le son a aussi été modifié dans ce sens. J’ai eu envie de m’adresser à la part la plus jeune de mon public. » Les mots de Lana Del Rey sont clairs, limpides : « Lust For Life » sera un disque engagé, politique, emballé dans une pochette qui n’est pas sans rappeler l’Amérique rurale. Autant d’éléments qui nous permettent aujourd’hui de fantasmer un duo avec le Boss, toujours prêt lui aussi à balancer à la face de l’Amérique conservatrice des morceaux révoltés, compatissants envers les classes populaires. On a même le titre de ce single potentiel : Anti-National Anthem.

    Une bande-son avec David Lynch. C’est peut-être la collaboration la plus évidente. Il suffit même d’écouter ses ballades planantes, éthérées, voire ésotériques, pour comprendre que Lana Del Rey est la candidate favorite pour figurer sur la bande-son d’un film du réalisateur américain, voire sur un de ses albums, toujours très fournis en featuring.

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