2017 M04 16
The Beatles – I Want To Hold Your Hand
Brian : I Want To Hold Your Hand est probablement la première chanson qu’on a été capables de chanter par cœur. Le premier vrai concert auquel on a assisté c’était d’ailleurs celui de Ringo Starr… Ou a-t-on vu Paul avant ? En tout cas, le premier titre que j’ai écrit ensuite parlait aussi d’une fille, car c’est ce que j’avais l’habitude d’entendre, mais je n’avais personne de précis en tête.
Michael : Moi, ma première chanson s’appelait Cool Side Of The Pillow (Le côté frais de l’oreiller), c’était sur l’amour et la perte des gens qu’on aime en vieillissant. J’avais 9 ans à l’époque.
Brian : C’était une chanson très mignonne ! Nos parents nous ont enseigné l’harmonie très tôt. Ma mère m’avait appris à me mettre le doigt dans l’oreille quand je chantais avec quelqu’un d’autre pour rester concentrer sur ma partie.
Radiohead – Karma Police
Brian : Je me suis moqué de Michael parce qu’il aimait Nirvana et Radiohead. Même si on a fini par tous les deux l’apprécier, c’était facile de se moquer de la voix de Thom Yorke.
Michael : On n’écoute pas toujours les mêmes choses mais on respecte les goûts de chacun. Lui m’a fait écouter les Who et moi je lui ai fait découvrir les Pixies et la scène post-punk.
Members Of The Press – Live
Brian : Members Of The Press était notre premier groupe avec Danny Ayala, au clavier dans Lemon Twigs, et Thomas Murphy qui était notre bassiste. Le groupe de notre père quand il était jeune s’appelait The Press alors on a trouvé drôle de s’appeler comme ça.
The Wonder Pets – Theme song
Michael : J’avais fait un doublage pour le dessin animé The Wonder Pets, c’est la première fois qu’on a entendu ma voix à la télévision. Ensuite j’ai joué dans un téléfilm de Noël.
Brian : Quand je jouais à Broadway dans Les Misérables, on avait fait une apparition dans une émission télé puis j’ai joué dans Les Experts à peu près au même moment.
Foxygen – Hang
Michael : C’est grâce à notre ami Jonathan Rado de Foxygen, qui a produit notre album et passe son temps à tourner, qu’on s’est rendu compte que faire du rock pouvait être un vrai métier.