Même pas ivre, cette mère a décidé d'appeler ses enfants Metallica, Slayer et Pantera

L’information a été divulguée par le réalisateur néo-zélandais David Farrier, qui a rencontré cette femme et vu les certificats de naissance des enfants "les plus bruyants au monde".
  • Il y a quelque chose d’à la fois très beau et dangereux en Nouvelle-Zélande : leur réglementation concernant les prénoms que l’on peut donner à ses enfants. Elle est, comment dire... très flexible. La preuve la plus parlante vient d’être racontée par David Farrier, qui au-delà d’être un fan de metal, est aussi réalisateur et acteur (Dark Tourist sur Netflix). Dans un article en ligne, l’homme raconte sa rencontre avec une maman (dont il tait le nom) qui a appelé ses enfants Metallica, Slayer et Pantera. Oui, en référence aux trois groupes de rock qui font du bruit.

    Par chance, en Nouvelle-Zélande, « il n'y a aucune restriction sur le nom des bébés en lien avec des groupes ou des albums » comme l’explique Jeff Montgomery, un officier d'état civil, interrogé par le réalisateur qui avait besoin d’avoir une confirmation sur la véracité des propos de la maman. L’enfant Metallica, qui a pour deuxième prénom And Justice for All (non ce n’est pas une blague), a bien été enregistré en 2009, année de sa naissance. 

    Selon David, la mère aurait déclaré, en blaguant, que « ce n’était pas facile d’élever les trois groupes les plus bruyants au monde ». L’histoire, racontée aussi sur Twitter ici, peut faire sourire. Mais l’officier d'état civil ajoute qu’un prénom similaire donné aujourd’hui à un nouveau-né, par exemple Iron Maiden, Tool ou Motörhead, serait accepté par les autorités. Pire, les noms d’albums ne posent à priori aucun souci à l’administration. D’un côté, on peut se dire que ça change de « John » ou « Mary », mais de l’autre, ça ouvre la porte au grand n’importe quoi.

    On vous laisse avec une autre maman, qui s'est rendu compte que l'hôpital s'était trompé dans le formulaire et avait écrit le prénom Korn à la place de Kora. Une erreur qui n'aurait posé aucun problème si la mère avait accouché en Nouvelle-Zélande...