Voici Radio Michel, la station réservée aux artistes nommés... Michel

De nouvelles web radios apparaissent tous les jours sur internet, mais aucune ne ressemble de près ou de loin à celle-ci. Une antenne qui se définit comme “la radio de tous les Michel, vous propose une sélection du meilleur des Michel, Michèle, Michael et autres Mitchell”, le tout 24/24. 

Mais comment le concept de Radio Michel est-il né ? Son fondateur, Julien Baldacchino, a expliqué à Néo son processus de création et c’est aussi simple qu’on le pense : “L’idée nous est venue avec ma compagne de l’époque en déjeunant avec des amis. On était tous très fan de variété française et on s’est bêtement fait la remarque un jour qu’il y avait quand même beaucoup de Michel dans la chanson française. Et on s’est dit que ce serait drôle s’il y avait une radio qui ne diffusait que des Michel.” Attention toutefois, il y a de tous les styles sur cette web radio. Rap, musique de film, jazz, les Michel sont partout dans le monde de la musique.

Avec plus de 70 Michel(le)s en rotation, cette web radio continue d’accueillir de nouveaux artistes sur son antenne avec la récente apparition des Michael, en commençant par le plus grand d’entre eux : George. Ce n’est pas tout, puisqu’il arrive qu’un chanteur passe en playlist sans avoir de lien avec Michel dans son patronyme, mais si c’est le cas dans le titre de son morceau, ça fonctionne quand même (par exemple les Beatles avec Michelle). Autre exception : une reprise d’un titre original d’un Michel est comptabilisée, même si l’interprète possède un prénom différent. 

Les fondateurs de l’antenne apportent beaucoup d’attention aux messages de leurs auditeurs. Si certains se nomment Michel et qu'ils se lancent dans la chanson, alors ils ont donc le droit à une diffusion sur la seule radio réservée à leurs homonymes. Une chance indéniable qui a permis notamment au petit nouveau Michel Forever de se placer tranquillement entre Michel Sardou et Michel Fugain dans une playlist du site.

Pour télécharger l’application Radio Michel, ça se passe par ici et si vous préférez le site internet, c’est juste là.