Debbie Harry : « Un jour Bowie m’a montré son gros sexe pour me remercier pour la coke »

Dans la catégorie citation de la semaine, celle de la leader de Blondie, extraite de sa première autobiographie (« Face it ») qui vient de paraître, explose tous les compteurs.

Dans un monde où les interviews de musiciens se révèlent de plus en plus fades et où chacun rivalise question langue de bois pour s’éviter les clashs sur Twitter, les propos qui suivent ont quelque chose de magique. Logique, en fait, tant la grande Debbie Harry, 74 ans, n’a plus à rien à prouver. En sortie promo pour défendre Face it, ses mémoires où elle balance tout, on tombe donc de notre chaise en lisant l’anecdote suivante, livrée sans filtre :

« « Un soir à New York, David [Bowie] et Iggy [Pop] cherchaient désespérément de la cocaïne ; tous les dealers qu’ils connaissaient s’étaient faits la malle. Par « chance », j’avais un gramme sur moi, mais je m’en fichais un peu ; la coke ça n’a jamais été trop mon truc – ça me bousillait la voix. C’est comme ça que je me suis retrouvée à partager mes lignes avec ces deux-là ; ils ont tout sniffé d’une traite. Et juste après ça, Bowie a naturellement déballé son gros engin devant moi, comme si j’étais l’inspectrice des bites, je ne sais pas. Peut-être qu’à force de jouer dans des groupes composés exclusivement de mecs, tous ces gens croyaient que j’étais la plus à même de mesurer leur matos. Tout ça pour dire que le sexe de David était, je dois bien l’avouer, impressionnant. Il adorait le montrer à tout le monde, garçons et filles. Je crois que c’était une manière de me remercier pour la coke… » »

Que rajouter, après ça ? Peut-être que Debbie Harry avoue s’être sentie flattée par l’attention, « car Bowie a toujours été l’une de ses idoles ». Si l’ensemble de l’autobiographie Face it est du même acabit(e), ça promet. Aucune traduction française n’est (hélas) encore prévue. Long live, Debby.

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