Les mecs de Parcels reviennent avec "Free", le tube qui manquait à ton été

Une Citroën DS, un jean patte d’eph et une ballade ensoleillée à Paris : le quintet australien assume ici sa passion des années 1970 et livre un nouveau tube imparable, idéal pour les longues soirées d’été passées sur le sable fin.
  • S'il est toujours réducteur de résumer un groupe en quelques faits, quatre éléments permettent néanmoins de comprendre le phénomène Parcels : une collaboration avec Daft Punk (Overnight), 350 millions de streams sur Spotify, des concerts sold out à travers le monde et une présence dans des festivals aussi prestigieux que Glastonbury ou Coachella. Les cinq Australiens sont évidemment bien plus que ça, et leur nouveau single en est une démonstration éclatante : trois ans après la sortie de « Parcels », Free fait partie de ces tubes qui incitent à l'optimisme, et s'entendent comme une véritable ode à la pop, tendance funky.

    « Nous avons enregistré ‘Free’ dans le salon du studio La Frette au premier étage avec un percussionniste nommé Pedro. Sa musicalité a apporté une énergie puissante à la première prise de son du jour et ça a éclairé la pièce, le groove du titre n’avait jamais été aussi fort. Nous avons travaillé toute la journée, mais rien n’a jamais été aussi magique que cette première prise qui est devenue le morceau ‘Free ».

    Si les Australiens remercient leur nouveau percussionniste, il convient de saluer également le travail de production et d’arrangements réalisé par un duo bien connu des fans d'Arctic Monkeys et Arcade Fire : James Ford et Owen Pallett, deux esthètes qui amènent ici leurs goûts des orchestrations, sensibles et rétro, classieuses et chaleureuses. Autant de termes qui pourraient parfaitement coller aux images du clip, tourné à Paris dans une ambiance 70's moins prétentieuse et plus solaire que n'importe film d'auteur français tentant de resituer cette époque.