2022 M09 14
Ozzy Osbourne le sait, son nom restera éternellement associé dans l’esprit du public à la défonce. Il n’a d'ailleurs rien fait pour lutter contre cette image pendant sa longue carrière, et il continue même d’en jouer lorsqu’il a besoin de faire un peu de promotion.
C’est sans doute ce qui explique ses déclarations pour le moins originales dans une interview donnée au magazine Classic Rock, en l’honneur de son dernier album solo, "Patient Number 9", et surtout du cinquantième anniversaire du "Vol. 4" de Black Sabbath, l’un des albums les plus notoirement cocaïnés de l’histoire du rock.
The new issue of Classic Rock is out now. It tells the crazy, chaotic, utterly unbelievable story of Black Sabbath's Vol 4. https://t.co/Dm7kBsTGnS
— Classic Rock Magazine (@ClassicRockMag) August 19, 2022
« On vivait ensemble dans une maison à Los Angeles, où on répétait et prenait des tonnes de drogues en faisant un album. C’était le bon vieux temps. A cette époque aux Etats-Unis, les gens adoraient ajouter de l’acide dans leurs verres. Je m’en foutais, j’étais habitué à avaler ces comprimés par poignées. »
Jusque-là, c’est business as usual pour Ozzy et ses collègues dans les années 1970. Mais il y a des rencontres qui changent une vie.
« Ça s’est arrêté quand on est rentrés en Angleterre. J’ai pris 10 comprimés d’acide avant d’aller faire un tour dans un champ. J’ai fini par y rester en discutant avec un cheval pendant environ une heure. En fin de compte, le cheval m’a tourné le dos en me disant d’aller me faire foutre. C’était fini pour moi. »
Mr. Crowley, won't you ride my white horse? #ozzy #mrcrowley #alistercrowley #horse #acid pic.twitter.com/BcVzKxt5xM
— Ozzy Osbourne (@OzzyOsbourne) August 25, 2022
Malheureusement, Ozzy ne précise pas la teneur de la conversation avec le canasson.
Pour écouter son dernier album, c'est ci-dessous. Et pour revoir sa prestation à la mi-temps du premier match de la saison de la NFL, c'est encore plus bas.