Les soirées Merci nous ont envoyé une carte postale et on leur dit...

  • ... merci, pour le moment ! Tous les jeudis soir depuis octobre, un DJ sauve la vie des clubbers du Badaboum à Paris, grâce à un concept original : inviter une pointure dont on ne voit que les pieds pour permettre aux danseurs de se concentrer sur leurs pas de danse (et un peu moins sur les selfies).

    Pour fêter ça, on a demandé aux co-organisateurs (Le Badaboum, La Sundae et la radio du Mellotron) de commenter quelques clichés de ces soirées anonymes. Merci ? De rien.
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    « Cette photo, c’est une des scènes que l’on peut voir en entrant au Badaboum lors des soirées Merci : une demoiselle au joli dos-nu qu’on a envie de voir de face (n’est-ce pas !), un jeune homme apparemment très heureux d’être là, un couple d’amoureux hors de l’espace temps et même un penseur qui doit se demander qui peut bien être ce lapin derrière le rideau ! » (Céline / Sundae)

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    « Une photo de l’autre côté du rideau où l’on voit bien que les artistes s’éclatent sans avoir de contact direct avec le public. C’est un exercice différent, mais cette distance permet de se libérer complètement et de jouer des sets éclectiques. » (Martin Munier / Directeur Artistique du Badaboum)
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    « Merci, la première. Indélébile de nos souvenirs, l’invité mystère était l’extraordinaire Mad Rey avec un set aussi éclectique qu’un enchainement entre le reggae de Miriam Makeba et la house 90’s de Phats & Small. » (Guillaume Biau / Le Mellotron)
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    « Troisième Merci avec Art Of Tones et premiers émois scénographiques avec la première boule à facettes installée devant le rideau par Céline de Sundae. Un habillage dont on ne pourra plus se passer à l’avenir. »(Guillaume Biau / Le Mellotron)

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    « Après l’arrivée de la Boule Disco, celle des yeux de Merci, un clin d’œil aux clins d’œil et un côté coquin pour cette édition avec Louise Chen et Bambounou, couple à la ville qui a fait, ce soir-là, l’amour aux platines. » (Samuel Sapin / Editorial du Badaboum)

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    « Un beau bordel foutraque et énergétique du jeudi soir où l’on sent que Merci fait son œuvre. Plus de la moitié des sujets photographiés portent leur regard ailleurs que sur la scène, les habitudes ont la vie dure, mais on va y arriver ! » (Samuel Sapin / Editorial du Badaboum)

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    « Baiser volé, baiser secret, le jeudi soir au Club Anonyme. » (Samuel Sapin / Editorial du Badaboum)

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    « Déjà parce que les minettes sont sexy et qu’il y a un effet de bande qu’on retrouve dans les soirées Merci. Le DJ n’est plus une lumière dans la nuit ; on ne le voit pas alors on ne danse pas vers la scène, mais en cercle, avec les potes. » (Aurelien Delaeter / Boss du Badaboum)

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    « Après plusieurs essais, la version finale de l’œuvre censée cacher les DJ chaque jeudi. Il fallait que ça soit simple à poser (et à stocker), que ça fasse son effet et que ça soit beau (c’est quand même ce qui fait la différence avec les autres soirées). » (Aurelien Delaeter / Boss du Badaboum)

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    « Parce qu’elle a un côté SM pas possible ! » (Aurelien Delaeter / Boss du Badaboum)

    Les soirées Merci, c’est tous les jeudis soir au Badaboum

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