2018 M09 18
Destination finale. Tout commence le 21 août. Alors qu’il voyage en jet privé du New Jersey à Londres, les roues de l’appareil éclatent. Le pilote est obligé d’atterrir en catastrophe à New York, juste après le décollage. On pense alors à un simple aléa, un problème technique comme un autre, et même Post Malone ne semble lui-même pas trop effrayé par la situation.
Sauf que, le 7 septembre, Post Malone frôle de nouveau la mort. Alors qu’il ride tranquillement sur les routes californiennes, sa Rolls-Royce percute une petite berline, avant de se crasher dans une barrière et de finir au milieu d’arbustes. Le chanteur, assis sur le siège passager, s’en est sorti indemne, sans le moindre bobo. Plutôt que de s’estimer miraculé, il préfère ironiser, sur Twitter, clamant « God must hate me lol » (« Dieu doit me détester lol »).
Il ne croyait pas si bien dire, car ce n’est pas fini. Trois jours plus tard, Posty a encore eu du bol. Une bande de malfrats armés, visiblement pas au fait du déménagement récent de la star, a pénétré dans son ancien domicile afin de le braquer. Ils ont eu beau chercher Post Malone dans le grenier, ils n’ont rien trouvé, sauf un locataire apeuré, incapable de leur indiquer où était le chanteur au visage tatoué.
Malédiction. TMZ, qui suit le dossier de très prêt, a dévoilé le 16 septembre ce qui pourrait être la raison de tous ces déboires. Une vidéo montrant le rappeur, guilleret, dans le musée hanté de l'acteur Zak Bagans, au fin fond du Nevada. On le voit jouer avec la « boîte à dybbouk », qui n’est autre que l’un des objets supposément les plus hantés au monde. Et si Post Malone était tout simplement maudit ?