Flashback : 10 disques cultes de 1991 qui ont usé notre walkman

Comme avec le vin, en musique, il y a des cuvées d’exception. 1971 ? Exceptionnelle. 1991 l’a été presque tout autant. Une année où Miles Davis et Gainsbourg sont morts, où Nirvana a explosé et où le rock tenait encore une place importante dans le cœur de la jeunesse. Mais quels sont les disques les plus marquant de cette année ?

Jack

2021 M04 30

Un trio de tête se démarque : « Nevermind » de Nirvana, « Bandwagonesque » de Teenage Fanclub et « Out of Time » de R.E.M. Ils sortent du lot pour l’influence et l’impact qu’ils ont eu, et ces morceaux qu’on écoute encore en boucle (qu’on adore ou qu’on déteste, que ce soit Losing My Religion ou Smells Like Teen Spirit).

Mais d’autres albums suivent de très très près : « Loveless » de My Bloody Valentine, « Blood Sugar Sex Magik » des Red Hot, « Screamadelica » de Primal Scream, « Blue Lines » de Massive Attack, « De La Soul Is Dead » de De La Soul ou encore « Osez Joséphine » de Bashung et « Qui sème le vent récolte le tempo » de MC Solaar, son premier album, pierre angulaire du rap français. D’autres albums, un peu moins connus, ont également une place sur l’étagère 1991 : « Pretty On The Inside » de Hole, « Foxbase Alpha » de Saint Etienne, « In the Presence of Greatness » du Velvet Crush, « Laughing Stock » de Talk Talk, « Yerself Is Steam » de Mercury Rev ou encore « Green Mind » de Dinosaur Jr.

Jack en a sélectionné 10, regroupés dans cette playlist, et toutes les pochettes sont juste en-dessous. Il manque l'album de Mc Solaar dans la playlist, mais vous pouvez l'écouter ici.